Dernier conseil syndical 2021 du syndicat mixte en charge du contrat de ville de l’agglomération de Papeete

Mis à jour le 14/12/2021

M. Guy FITZER, administrateur d’État des îles du Vent et des îles Sous-le-Vent, a participé à Moorea, dans les locaux du CRIOBE, au dernier conseil syndical de l’année 2021 du syndicat mixte en charge du contrat de ville de l’agglomération de Papeete (SMCDV), en présence du président du contrat de ville et vice-président de la Polynésie française, M. Jean- Christophe BOUISSOU et de l’ensemble des élus et techniciens communaux du SMCDV.

Cet événement fédérateur a été l’occasion pour l’administrateur de rappeler l’engagement renforcé et pérenne de l’État en 2021 en faveur des 76 quartiers prioritaires de la ville, notamment au plus fort de la crise Covid-19 qui a touché la Polynésie française en 2021.

Il a indiqué qu’une enveloppe globale de 370 millions XPF, octroyée par l’État au SMCDV, a été consacrée en 2021 à la cohésion sociale, à l’emploi et au cadre de vie (260 millions XPF), à la construction ou à la rénovation d’équipements structurants (71,6 millions XPF), mais également au recrutement de 16 adultes relais au sein de 7 communes candidates à ce dispositif, à savoir Arue, Faa’a, Moorea, Paea, Papeete, Pirae et Punaauia, toutes adhérentes du contrat de ville (38,3 millions XPF).

Le dispositif des adultes-relais - tout nouvellement déployé en Polynésie française et porté par l’État, en lien avec le SMCDV et les communes - a permis le recrutement de 16 personnes de plus de 26 ans et sans emploi. Ces adultes-relais seront très prochainement formés afin d’accompagner les habitants des quartiers prioritaires de la ville dans leurs démarches administratives, mais également en matière de santé publique et d’éducation.

L’administrateur a enfin indiqué que la prochaine ré-écriture du contrat de ville, qui arrivera à échéance fin 2022, constitue une opportunité pour tous les acteurs polynésiens de la politique de la ville d’innover afin de soutenir encore davantage les populations les plus fragilisées par la crise sanitaire.