9,169 milliards de francs d’investissements dans les infrastructures du Pays soutenus par l’État

Mis à jour le 06/02/2024

Éric SPITZ, Haut-Commissaire de la République en Polynésie française et Moetai BROTHERSON, Président de la Polynésie française, ont présidé ce jour les instances de pilotage de deux dispositifs de soutien financier de l’État au Pays :

  • Le troisième instrument financier (3IF) qui permet le maintien et le renforcement de nos infrastructures routières, aéronautiques, maritimes, et de défense contre les eaux, notamment dans les archipels éloignés ;
  • La convention éducation prévoyant un soutien à la modernisation des constructions scolaires publiques du second degré.

Après un examen détaillé de chaque projet, les comités de pilotage ont validé, pour 2024, la programmation de 44 projets qui s’inscrivent dans les priorités sectorielles du gouvernement de la Polynésie française pour un montant global de 9,169 milliards XPF TTC, soutenus par l’État à hauteur de 6,422 milliards XPF soit 70%.

Parmi les projets retenus, peuvent être soulignés :

  • La reconstruction du débarcadère de Fakahina pour un montant total de 700 millions XPF TTC et une participation de l’État de 490 millions XPF (3IF) ;
  • La reconstruction des ponts de Vaipoopoo au PK 10,7 et de Paepaeotia au PK 13 à Pueu pour un montant total de 420 millions XPF TTC avec une participation de l’État de 294 millions XPF (3IF) ;
  • La mise aux normes incendie, mise en conformité électrique, amélioration du cadre de vie et de l’hygiène des collèges et lycées de Tahiti et de Moorea pour un montant total de 186 millions XPF TTC avec une participation État de 131 millions XPF (DGI) ;
  • La réfection de l’étanchéité des toitures terrasses du collège de Hao pour un montant total de 66 millions XPF TTC avec un financement de l’État qui s’élève à 46 millions XPF;

Cette programmation ambitieuse sera complétée dans quelques mois par celle du prochain contrat de développement et de transformation avec la volonté constante d’œuvrer concrètement au soutien de l’économie polynésienne, à la cohésion territoriale et à la satisfaction des besoins sociaux de l’ensemble des Polynésiens.